Le FIBD : notre débrief

Du 17 au 20 mars dernier a eu lieu le festival international de la bande dessinée d’Angoulême (le FIBD). Pour la 49ème édition du festival, l’équipe Tosho était présente (avec nos beaux tee-shirt violet) sur les lieux.

Nous avons pu présenter Tosho et même échanger avec certains toshonautes. Vous rencontrez nous a surmotivé à vous proposer une bête d’application qui vous fasse plaisir. Je tease mais plein de nouveautés devraient arriver cette année.

Le FIBD a été la première convention/festival pour Tosho mais ne sera pas la dernière (je tease  encore un truc là). On sera là avec nos meilleurs tee-shirts Tosho et nos meilleurs goodies (vous pourrez chopper votre petit marque page Tosho très vite).

Aujourd’hui, on vous propose un petit debrief du festival d’Angoulême, notamment les 5 choses qui nous ont régalé là-bas.

Affiche du FIBD d’angoulême

#1/ La mise en avant des talents français et francophones

Le festival international de la bande dessinée est évènement important dans le monde de la BD, du comics et même du manga. Lors du festival, bon nombres de talents francophones sont mis sur le devant scène … Et ça fait plaisir.

Couverture du 1er volume de Yojimbot de Sylvain Repos

Il faut quand même rappeler que le segment de la BD et de la BD de genre est un milieu où les œuvres francophones sont très présentes (on parle souvent de BD franco-belge donc bon …).

Cependant au-delà de la BD, l’univers du manga et du comics est contrôlé par des mastodontes japonais ou américains. Ainsi, ça nous a fait plaisir de voir qu’à Angoulême les auteurs francophones de manga et comics français sont mis à l’honneur dans beaucoup de stands. De pouvoir discuter avec les auteurs et de découvrir des pépites françaises, on adore ça à Tosho.

On peut citer Wing Fighter de Christophe Cointault ou encore Yojimbot de Sylvain Repos nos petites découvertes lors de notre passage au festival.

#2/ L’exposition sur Fujimoto

Cette année, le FIBD a rendu hommage à Tatsuki Fujimoto au travers d’une exposition dédiée à son œuvre. Son talent n’est plus à prouver. Que ce soit Chainsaw Man, Fire Punch ou encore  Look Back, Fujimoto nous a offert à chaque fois des masterclass incroyables.

Pour l’occasion, le festival nous plonge dans l’univers magnifique, poétique et trash de l’auteur japonais avec une ambiance tamisée, de la musique ou encore des décors aux petits oignons. On vous laisse apprécier le rendu final.

#3/ L’ambiance festival

Le festival d’Angoulême a été pour nous le moment de découvrir des nouvelles BD, comics ou encore mangas (notre portemonnaie est en pls depuis ce festival).

Dans notre visite au sein du festival, nous avons pu découvrir des livres présentés par les auteurs eux-mêmes (certains auteurs de la maison d’édition 6 pieds sous terres notamment).

Mais surtout, l’ambiance avec les festivaliers dans les stands étaient incroyables. On a pu échanger avec pas mal de collectionneurs. Beaucoup nous fait découvrir certaines œuvres très intriguantes (on nous a converti aux bandes dessinées de Fabcaro).

On le redis la communauté BD, manga & comics est incroyable !

#4/ Lastman (Oui juste Lastman)

Oui, ça va être l’instant fanboy. Déjà, allez lire Lastman !

Lors de ce festival d’Angoulême, nous avons pu rencontrer et discuter avec l’un des auteurs de cette œuvre : Michel Salanville. Et juste de pouvoir rencontrer l’un des auteurs préférés d’un membre de l’équipe, c’est cool.

Malheureusement, on a loupé de peu la projection du première épisode de Lastman Heroes, la seconde saison de l’adaptation animé.

#5/ L’expo Goldorak

Pour finir, le dernier point sympa de notre weekend à Angoulême a été l’exposition sur Goldorak au côte des auteurs  de la version française eux-mêmes.  Goldorak, on ne le présente plus. C’est un manga classique du genre mecha que l’on doit à Go Nagai.

L’exposition était intéressante et montrait vraiment l’impact de l’œuvre, son dessin et la création de la version française. Un gros point positif de notre visite !

Et oui on a pris une photo à cote du Goldorak taille humaine…

Voilà notre petit débrief du festival. Certes, il y avait beaucoup à dire mais on a essayé de rester concis.

C’est tout pour moi,


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